En séance plénière, la pionnière de la psychiatrie nutritionnelle a fait le point sur cette discipline qui tend à accumuler des preuves sur l'impact de l'alimentation sur la santé mentale[1]. Elle s'est positionnée du côté de la science prévenant dès son introduction que la psychiatrie nutritionnelle n'était pas une médecine "complémentaire" ou encore "alternative" ou "intégrative".
Nouvelles fixes
Nouveau !
Vous pouvez visionner sur YouTube les prestations de notre groupe musical "Les Voix de l'Aube"
https://www.youtube.com/@AssociationTP-TP
N'hésitez pas à partager !
Nouvelles
Pour adhérer et nous soutenir :
https://www.helloasso.com/associations/troubles-psychiques-tous-partenaires
28 août 2023
Psychiatrie nutritionnelle, une discipline digne d'intérêt
"Traditionnellement, les psychiatres et la psychiatrie ne pensent pas à ce qu'il se passe sous le cou, comme si le corps et le cerveau étaient déconnectés", a lancé la Pre Felice Jacka (Université Deakin, Australie) lors d'une présentation, sous l’égide de la Fondation FondaMental, à l'occasion des Journées Neurosciences Psychiatrie Neurologie (JNPN 2023) .
En séance plénière, la pionnière de la psychiatrie nutritionnelle a fait le point sur cette discipline qui tend à accumuler des preuves sur l'impact de l'alimentation sur la santé mentale[1]. Elle s'est positionnée du côté de la science prévenant dès son introduction que la psychiatrie nutritionnelle n'était pas une médecine "complémentaire" ou encore "alternative" ou "intégrative".
En séance plénière, la pionnière de la psychiatrie nutritionnelle a fait le point sur cette discipline qui tend à accumuler des preuves sur l'impact de l'alimentation sur la santé mentale[1]. Elle s'est positionnée du côté de la science prévenant dès son introduction que la psychiatrie nutritionnelle n'était pas une médecine "complémentaire" ou encore "alternative" ou "intégrative".
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire