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12 juillet 2023

[Recherche] : Où il est possible que les pathologies mentales s’accompagnent d’un profil lipidique particulier

Dans le contexte du conflit en Ukraine où les relations avec la Russie sont désormais très ténues, la publication par JAMA Psychiatry d’une recherche menée à l’Institut de Sciences et de Technologie Skoltech (à Skolkovo, dans un site qualifié de « Silicon Valley russe »)[1] apporte des lueurs d’espoir sur une future coopération internationale, après la fin des hostilités. En effet, les auteurs présentent les résultats d’une étude où les participants (volontaires) ont été recrutés entre 2009 et 2018 (à titre de patients ambulatoires ou lors d’une hospitalisation en psychiatrie) dans trois régions du monde : Russie, Chine et Europe occidentale (plus précisément en Allemagne et en Autriche).

Comme il n’existe à ce jour aucun test biologique pour diagnostiquer les troubles mentaux graves, et comme les lipides paraissent receler un grand potentiel à titre de marqueurs de maladies, ces chercheurs se sont demandés s’il est possible de définir un profil reproductible des altérations lipidiques dans le plasma sanguin des patients atteints de schizophrénie et d’étudier son éventuelle spécificité en association avec d’autres troubles psychiatriques, le trouble dépressif majeur et le trouble bipolaire.

Pour cette recherche portant au total sur 1 552 sujets, les données cliniques et les échantillons sanguins ont été analysés entre janvier 2018 et septembre 2020. Après l’évaluation de la structure du profil lipidique (le lipidome déjà évoqué dans certains cancers [2]) du plasma au moyen de la chromatographie liquide couplée à la spectrométrie de masse, les auteurs estiment avoir identifié des altérations significatives du profil lipidique du plasma sanguin.

Des altérations quantitatives caractéristiques selon les chercheurs de Skolkovo

Selon les chercheurs de Skolkovo, ces différences de profil lipidique sépareraient "de façon reproductible et précise des sujets atteints de schizophrénie et des sujets-témoins" (appariés selon l’âge et le sexe). Et l’analyse des altérations lipidiques dans le plasma sanguin d’individus atteints de trouble dépressif majeur ou bipolaire révèlerait en outre un chevauchement trans diagnostique significatif entre ces trois entités nosographiques (schizophrénie, trouble dépressif majeur et trouble bipolaire).

Pour les chercheurs, ces résultats suggèrent qu’un profil partagé d’altérations quantitatives des lipides plasmatiques caractérise, dans divers pays, les patients affectés par ces troubles mentaux graves. La schizophrénie s’accompagnerait d’un profil reproductible d’altérations du lipidome plasmatique, non associé à la sévérité des symptômes, aux médicaments ni aux variables démographiques et environnementales, et largement partagé avec le trouble dépressif majeur et le trouble bipolaire. Mais au-delà d’une possible application clinique de cette "signature d’altération lipidique" comme aide future au diagnostic en psychiatrie (voire à la surveillance biologique d’un traitement), l’intérêt d’une telle publication est d’offrir un aperçu optimiste de ce que pourrait (pourra ?) être un jour un monde sans entrave de la guerre pour l’essor de la recherche scientifique.

[1] https://fr.wikipedia.org/wiki/Centre_de_recherche_et_d%C3%A9veloppement_Skolkovo

[2] https://www.hal.inserm.fr/inserm-00068759/fr/

Dr Alain Cohen

RÉFÉRENCE

Tkachev A et coll.: Lipid alteration signature in the blood plasma of individuals with schizophrenia, depression, and bipolar disorder. JAMA Psychiatry; 2023 vol 80(03): 250–259. doi: 10.1001/jamapsychiatry.2022.4350.

JIM.fr - Où il est possible que les pathologies mentales s’accompagnent d’un profil lipidique particulier

11 juillet 2023

Plein emploi en 2027 : les mesures en cas de handicap !

Priorité à l'emploi en milieu ordinaire, droits des travailleurs d'Esat améliorés, accès simplifié en cas d'invalidité... Le gouvernement rend sa copie le 7 juin 2023 sur son projet de loi pour le plein emploi. Les mesures handicap en détail...

Le plein emploi pour tous en 2027 ? Le gouvernement a présenté en Conseil des ministres, le 7 juin 2023, son projet de loi « plein emploi », qui doit donner naissance au plus tard le 1er janvier 2025 à « France Travail », le successeur de Pôle emploi. Objectif ? Répondre à une promesse de campagne d'Emmanuel Macron : amener la France vers le plein emploi, soit un taux de chômage autour de 5 % (contre 7,1 % actuellement). Le texte sera examiné au Sénat début juillet mais ne sera validé que lors du projet de loi de fiances 2024 discuté eu Parlement à l'automne. Le démarrage de ce chantier colossal est prévu début 2024 avec une montée en puissance et une généralisation en 2027. Son credo : « Nul n'est inemployable ». Reste à savoir quels moyens seront mis à disposition pour le rendre effectif.

LIRE TOUTES LES INFORMATIONS


Revue critique sur le projet :

10 juillet 2023

Handicap : ces femmes inspirantes qui font bouger les lignes

Le 8 mars 2023, des femmes en situation de handicap sont réunies autour de Geneviève Darrieussecq. Ces militantes dénoncent la double peine et les violences mais témoignent surtout de leurs combats légitimes qui ouvrent un coin de ciel... rose.

Dorine est en pleurs. Elle dénonce les « humiliations répétées dans sa discipline, la voltige aérienne, les regards qui se détournent, les mises à l'écart ». Dorine, c'est Bourneton, la première femme en situation de handicap voltigeuse de France, l'héroïne dont on vante le « courage, la persévérance, le talent » sur tous les plateaux de télévision. On a même fait de sa vie un téléfilm, Au-dessus des nuages, diffusé à une heure de grande écoute sur TF1. Mais la réalité est moins « rose », visiblement cruelle. Dorine a le « tort » d'être à la fois handicapée et femme, double peine. « L'envers du décor, au quotidien, est violent », confie-t-elle.

En petit comité

Comme une dizaine d'autres, elle est conviée le 8 mars 2023, en cette Journée internationale des droits des femmes, à partager un petit-déjeuner avec Geneviève Darrieussecq, ministre déléguée aux Personnes handicapées. Si Dorine se laisse submerger par l'émotion, les prises de parole sont le plus souvent militantes, âpres, exaspérées mais jamais désespérés car toutes promettent de ne rien lâcher. Ces fortes têtes, ces passionarias, ces amazones sont engagées sans conditions pour l'inclusion et l'égalité femmes-hommes. Présidente d'association, sportive, entrepreneure, avocate, elles parlent de leur vie, évoquant leurs réussites, leurs souffrances, leurs espoirs, avec une énergie et une sincérité décuplées par ce petit comité. Deza Nguembock, ambassadrice des droits des personnes handicapées en France pour la Commission européenne, mais surtout entrepreneure poussée à la faillite par la Covid, annonce la création d'un fonds de dotation pour soutenir les cheffes d'entreprises handicapées. Dominique du Paty a créé en 2015 le Trophée des femmes en EA et ESAT après une visite dans un établissement où une employée se désespérait du manque de reconnaissance de son travail ; les lauréates en tirent aujourd'hui une gratification nourrissante. A son tour, Chantal Rialin, présidente de FDFA (Femmes pour le dire, femmes pour agir), encourage les femmes à « sortir de l'invisibilité » et à « s'engager davantage ».

.../...
La plupart des revendications portées ce jour-là autour d'un café et d'un croissant par cette poignée de femmes inspirantes figure déjà dans le droit commun, dans la loi. Encore faut-il les mettre en œuvre… Action !

09 juillet 2023

La schizophrénie est associée à des mutations somatiques survenant in utero

En tant que trouble psychiatrique apparaissant à l’âge adulte, on pense que la schizophrénie est déclenchée par une combinaison de facteurs environnementaux et génétiques, bien que la cause exacte ne soit pas encore entièrement comprise.

 Dans une étude publiée dans la revue Génomique cellulaire le 6 juillet, les chercheurs ont découvert une corrélation entre la schizophrénie et les variantes somatiques du nombre de copies, un type de mutation qui se produit tôt dans le développement mais après que le matériel génétique a été hérité. 

Cette étude est l’une des premières à décrire rigoureusement la relation entre les mutations génétiques somatiques – non héréditaires – et le risque de schizophrénie.


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08 juillet 2023

Pays de la Loire : un plan d’urgence pour la psychiatrie

La psychiatrie connait actuellement des difficultés sans précédent dans la capacité à prendre en charge les patients de plus en plus nombreux, jeunes, adultes et personnes âgées. Consciente de l’urgence de la situation, l’ARS Pays de la Loire décide, en concertation avec les acteurs, d’un plan d’urgence dont l’objectif est de sécuriser la prise en charge des patients et de redonner des perspectives aux acteurs de terrain. 

Lire le Communiqué complet.

Le plan d’urgence mis en oeuvre par l’ARS dans les Pays de la Loire, en lien avec l’ensemble des acteurs, se décline en trois axes :

1. Renforcer la psychiatrie de secteur

2. Agir en amont et en périphérie de l’hospitalisation

3. Lancer simultanément des travaux structurant à moyen terme



07 juillet 2023

Médias et psychiatrie – mémo à l’usage des journalistes

Ce dépliant a été créé par :

l’AJIR PSY : Association de Journalistes pour une Information Responsable – PSY

l’ODI : Observatoire de Déontologie de l’Information

avec le soutien de la Fondation de France.


Médias et psychiatrie - mémo à l'usage des journalistes - AJIR Psy

06 juillet 2023

Émotions : le fait de ne plus rien ressentir porte un nom

Cette incapacité à ressentir des émotions positives lors de situations de vie pourtant considérées antérieurement comme plaisantes est un symptôme central de la dépression.

Il arrive à certaines personnes de ne plus éprouver d’émotions, ou uniquement des émotions négatives. Elles n’apprécient plus rien, même pas un bon repas au restaurant, une soirée entre amis ou une promenade sur la plage. Et elles n’ont plus envie de rien… 
Cette perte de plaisir, de désir et d’élan vital s’appelle l’anhédonie, un terme inventé par le psychologue français Théodule Ribot en 1896 – du grec a, «"sans", et hêdonê, "plaisir" – en référence à l’analgésie (perte de sensibilité à la douleur). L’anhédonie est un symptôme clé de la dépression, et elle intervient dans d’autres maladies neuropsychiatriques, comme la schizophrénie. En 2021, des chercheurs australiens ont découvert qu’elle touchait aussi les personnes atteintes de démence précoce, une dégénérescence cérébrale pouvant survenir dès 40 ans. 

L’imagerie cérébrale a montré qu’en cas d’anhédonie, la densité de matière grise baissait dans des "points chauds hédoniques" (cortex préfrontal, insula, striatum…) liés au système de récompense, circuit du plaisir et de la motivation dans le cerveau. Ces zones sont distinctes de celles de l’apathie (déficit de motivation) et de la dépression. Leur découverte ouvre de nouvelles perspectives de soin : ces scientifiques viennent d’élaborer un recueil de conseils pour susciter l’engagement des personnes anhédoniques.



05 juillet 2023

Handicap psychique : l’intérêt du triptyque "Personne concernée – proche aidant.e – professionnel.le"

L‘accompagnement social dans le milieu de vie des personnes en situation de handicap psychique s’appuie sur un triptyque qui réunit trois catégories d’acteurs : les personnes concernées, les proches aidants et les professionnels. Une recherche* ambitionne de tirer des conclusions utiles pour l’évolution des pratiques et des modalités d’intervention, à partir de l’analyse des freins, des barrières et des leviers identifiés dans un processus participatif.

Le point de départ de cette recherche est d’étudier les transformations de l’intervention sociale induites par le virage inclusif dans le champ de la santé mentale. Un certain nombre d’évolutions législatives, d’orientations de l’action publique et de revendications de mouvements d’usagers, porte un changement « d’esprit » quant aux places respectives des professionnels et des usagers dans la construction de l’intervention. Ce mouvement affiche en effet une volonté de tendre vers davantage d’égalité, de symétrie, de reconnaissance des savoirs d’expérience, d’autonomie de vie et de décision pour les personnes usagères de la psychiatrie et de services liés à la santé mentale.

Située au croisement d’une sociologie de l’intervention sociale, des mouvements sociaux et des professions, cette recherche visait une analyse de la co-construction de l’intervention autour de deux grands axes, articulés entre eux : la mobilisation et la reconnaissance des savoirs experts de chacun des acteurs, et l’évolution de l’équilibre des pouvoirs et de l’asymétrie des places. Nos terrains d’enquête ont été les services d’accompagnement à domicile (SAVS, SAMSAH), emblématiques du virage inclusif de l’intervention sociale en France.

« Ce projet ambitionne de tirer des conclusions utiles pour l’évolution des pratiques et des modalités d’intervention, à partir de l’analyse des freins, des barrières et des leviers identifiés dans un processus participatif »

Un des apports phare de la recherche a été d’informer sur les transformations institutionnelles de la prise en charge du handicap psychique dans un contexte général de ce qui est communément admis d’appeler la « désinstitutionnalisation », en portant la focale essentiellement sur l’accompagnement dans le milieu de vie des personnes. Ce modèle dit « inclusif » se fonde, pour les personnes concernées, sur un droit de vivre dans la société, avec la même liberté de choix que les autres personnes. Par cette entrée, il s’est agi de regarder comment les personnes concernées et leur écosystème (intervenants, proches) vivent ces transformations.

La recherche explore dans quelles mesures ces reconfigurations institutionnelles peuvent concourir aux objectifs d’autonomie de vie des personnes en situation de handicap psychique, d’inclusion dans la société, de liberté de faire selon leurs propres choix et dans le respect de leur dignité. Sommes-nous seulement face à une belle utopie ? Quels sont les leviers/supports mais aussi les freins à la mise en œuvre de ces grands principes ?

« La relation aux proches aidants déstabilise les professionnels puisqu’on leur enjoint de les prendre en compte dans leurs pratiques professionnelles, tout en leur demandant de favoriser l’autonomie des personnes usagères, y compris dans leurs demandes d’indépendance vis-à-vis de leurs proches. »

A l’issue de cette recherche, il ressort comme élément phare que la place des proches-aidants dans le mouvement d’inclusion et de « désinstitutionalisation » de l’intervention sociale reste largement impensée. Acteurs – et surtout actrices – indispensables du maintien des personnes concernées par les troubles psychiques dans leur milieu de vie, les proches sont pour autant majoritairement tenus à l’écart des décisions qui concernent l’accompagnement. Au terme de cette enquête, il est également relevé un décalage certain – plus ou moins fort selon les sites d’enquête – entre l’idéal normatif de la symétrie et de la reconnaissance des expertises de chacun et le déroulement concret dans le quotidien des services.

Cette enquête montre ainsi des accompagnements incontestablement soucieux de soutenir les personnes dans leurs choix et leur milieu de vie, ainsi que d’associer les expertises usagères aux délibérations nécessaires au jugement professionnel. Elle montre aussi tous les défis et les difficultés que rencontrent ces objectifs, et quelles sont les pratiques qui viennent limiter ou fragiliser le plein accès aux droits sociaux et le plein exercice des droits humains pour les personnes en situation de handicap psychique.

La recherche a ainsi débouché sur la production de supports vidéo de formation et d’auto-formation, souhaitant soutenir la réflexivité des différents acteurs et identifier des pistes pratiques pour l’action face aux défis de la co-construction de l’intervention sociale en santé mentale et aux épreuves qu’elles engendrent pour chacun des acteurs.

• Le triptyque « Personne concernée – proche aidant.e – professionnel.le » dans l’intervention dans le milieu de vie de personnes handicapées psychiques : co-construction de l’intervention et expertises multiples, Fondation internationale de la recherche appliquée sur le handicap (Firah). Cette recherche est portée par le CERA-BUC Ressources et l’ESPASSENSEIS (avec la participation de l’ARFRIPS), en partenariat avec le CRI-EPSS (Centre de recherche intégrée école pratique de service social).

04 juillet 2023

[Ouvrage] : Inclusion et handicap mental et psychique.

Inclusion et handicap mental et psychique.
Le rôle des établissements et services sociaux et médico-sociaux, 2ème édition

Gérard Zribi, Editions Presses de l’Ehesp, coll. Terrains Santé Social, mars 2023

Le concept d’inclusion et le rôle des établissements et services spécialisés provoquent des échanges vifs et  tranchés. Peut-on parler des besoins et des réponses à mettre en place pour des enfants, des jeunes et des adultes handi­capés, sans tenir compte de la gravité des atteintes et de la complexité des handicaps ? Un seul type de dispositif peut-il représenter le « tournant inclusif » ? L’école « normale », le logement personnel, l’emploi « ordinaire » permettent-ils l’accès de tous aux droits fondamentaux ?

De façon claire, incisive et documentée, cet ouvrage présente un panorama de la politique du handicap en France et un portrait général des publics accompagnés et suivis. Gérard Zribi détaille l’ensemble des dispositifs en établissement, à l’école, dans l’entreprise, ainsi que les mesures pour favoriser l’habitat inclusif.

Cet ouvrage s’adresse aux professionnels et étudiants du social et médico-social, enseignants de l’Éducation nationale, acteurs associatifs et décideurs publics peuvent ainsi faire le point sur les notions clés, mieux connaître les responsabilités institutionnelles et les solutions pour une inclusion au plus proche des pratiques effectives et émergentes.



03 juillet 2023

Un observatoire des thérapies complémentaires à la fac de médecine de Strasbourg

Depuis le 13 juin, la faculté de médecine, maïeutique et sciences de la santé de l’Unistra est dotée d’un observatoire de l’enseignement des thérapies dites « complémentaires ». La Miviludes a été conviée à y participer.

Présidé par Fabrice Berna, professeur de psychiatrie, vice-président formation du Collège universitaire de médecines intégratives et complémentaires, cet observatoire devrait regrouper des enseignants, des étudiants, des organisations comme l’ordre des médecins, des instituts (Inserm)...

02 juillet 2023

Schizophrénie : définition, c'est quoi un(e) schizophrène ?

La schizophrénie est une maladie psychiatrique qui se caractérise par une grave division de la personnalité. 

Causes, symptômes, évolution, traitement : les explications de nos psychiatres :

Dr Patrick Lemoine et Pr Nicolas Franck.

Schizophrénie : définition, c'est quoi un(e) schizophrène ? (journaldesfemmes.fr)


01 juillet 2023

Les carnets du secouriste en santé mentale. Comment mieux accompagner les troubles psychiques ?


Que sont les troubles psychotiques ?

Comment approcher une personne qui pourrait avoir un trouble psychotique ?

Que faire si la personne a des difficultés à communiquer ?

Comment encourager la personne à chercher une aide professionnelle ?

Que faire si la personne a récemment eu un enfant ?

Que faire si la personne a consommé de l’alcool ou d’autres drogues ?

Que faire si la personne traverse une crise psychotique ?

Questions de sécurité en cas de crise psychotique.

Comment prendre soin de moi ?