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21 mai 2024

[Témoignage] : "Ce jour où je vous ai attaché…"

Face à un patient en crise psychique, pas simple pour le psychiatre de prendre la décision de médiquer, attacher, isoler… Il est alors pris dans une impasse, avec des sentiments violents, entre peur, gêne, honte, culpabilité…

Je ne vous avais jamais vu avant. Vous étiez hospitalisé depuis quelques jours, sans doute. Je ne me souviens plus bien. Après tout, je ne vous ai vu que deux fois.

Partie 1 : Décontention

Vous étiez enfermé en chambre de soins intensifs. C’est comme cela qu’on appelle maintenant les chambres d’isolement. Pour cacher un peu, par un autre mot, ce qui nous fait tous un peu (beaucoup) honte. Et même, on acronymise en « CSI », comme ça il n’y a même plus de mot. Intensive, la solitude l’est dans cette pièce à isoler ; l’angoisse aussi. Une chambre d’isolement intensif, plutôt. Vous étiez très angoissé : par les idées qui envahissaient votre pensée, des idées folles, de grandeur et de persécution. Vous étiez assailli d’idées délirantes qui vous coupaient en partie de la réalité, de celle que l’on partageait « nous autres » : les soignants.

Lorsque je suis entrée dans cette pièce qui vous maintenait à l’écart du monde, j’ai immédiatement retrouvé l’ambiance de « l’iso » : un épais matelas bleu posé au sol, une gourde molle perchée sur le rebord de fenêtre, des murs peints en blanc, une horloge digitale fixée au-dessus de la porte. Rien de plus. Je n’ai pas vu tout de suite que vous étiez attaché ; les sangles étaient comme pudiquement dissimulées par la couverture. Mais non, c’est parce qu’il faisait si froid. Les infirmiers m’avaient un peu briefée avant. Très vite, quelques mots de votre arrivée : psychose, épisode délirant, hallucinations, agitation, sous-sédation, agressivité, risque de fugue. L’équipe soignante s’accordait à dire que vous étiez apaisé...

Auteur : Geneviève HENAULT, Psychiatre

Lire l'article en entier en PDF

18 mai 2024

Maigrir – La révolution des médicaments anti-obésité

Enquête : Alors que la planète compte plus de 1 milliard d’obèses, l’arrivée de nouveaux traitements change la donne. La France s’apprête à les autoriser. Tiendront-ils leurs promesses ?

Le Point n°2701 du jeudi 9 mai 2024



Pourquoi référencer cet article sur les médicaments anti-obésité ?

La prise de poids est un effet secondaire fréquent des antipsychotiques. Quel serait le bénéfice/risque de ces médicaments chez des personnes souffrant de troubles psychiques.... ?

17 mai 2024

La FDA approuve l'ilopéridone pour le traitement du trouble bipolaire

La Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a approuvé les comprimés d'ilopéridone (Fanapt®) pour le traitement aigu des épisodes maniaques ou mixtes associés au trouble bipolaire I chez l'adulte.

L'ilopéridone est un antagoniste mixte des récepteurs de la dopamine D2 et de la sérotonine 5-HT2A et appartient à la classe des antipsychotiques atypiques. Il a été approuvé pour la première fois par la FDA en 2009 pour le traitement aigu de la schizophrénie chez l'adulte.

Cette nouvelle autorisation s'appuie sur les résultats d'un essai de phase 3 randomisé, en double aveugle et contrôlé par placebo, qui a montré que les patients atteints de manie bipolaire traités par ilopéridone présentaient des résultats significativement meilleurs que ceux ayant reçu un placebo, avec une amélioration des symptômes dès 14 jours après la dose initiale...

La FDA approuve l'ilopéridone pour le traitement du trouble bipolaire (medscape.com)

14 mai 2024

[23 mai] : Ma journée à moi

L'association "Les ricochets" vous invite à une journée "aidants" et "séniors". Elle s’adresse à des personnes qui ont en charge un proche dépendant ou malade dans son entourage et/ ou à des seniors qui souhaitent prendre un temps pour eux dans une période difficile de leur vie.

Au programme : Du yoga, du théâtre, des activités sportives adaptées et beaucoup d’autres surprises.

Date : 23 mai 2024 de 9h à 17h00, repas et collation offerts

Où ? : Centre Culturel St Thomas, Rue de la Carpe Haute à Strasbourg (parking sur place et gratuit).

L'inscription est gratuite, mais le nombre de places est limité.

Comment s’inscrire ?


En remplissant le formulaire suivant : formulaire inscription

De préférence avant le mercredi 15 mai



11 mai 2024

[Recherche] : Efficacité de la formation "Profamille" sur la réduction du risque suicidaire

Le docteur Yann Hodé a le plaisir de vous annoncer que l’article dans Frontiers in Psychiatry sur l’efficacité de Profamille sur la réduction du risque suicidaire est publié et accessible sur le lien :

https://www.frontiersin.org/journals/psychiatry/articles/10.3389/fpsyt.2024.1370566/full



N’hésitez pas à diffuser l’information autour de vous !


Résumé publié récemment dans Le Monde :

08 mai 2024

Y a-t-il un lien entre consommation de drogue et schizophrénie ?

Le cannabis est régulièrement présenté comme un facteur favorisant la survenue de la schizophrénie. Qu'en est-il vraiment ? Les réponses du Dr David Masson, psychiatre.

Le cannabis n'est pas forcément synonyme de schizophrénie

En analysant les données de santé de près de sept millions de Danois, âgés de 16 à 49 ans entre 1972 et 2021, les chercheurs ont observé une corrélation entre les troubles psychiatriques causés par la consommation de cannabis et le développement de la schizophrénie chez les hommes et les femmes.
"Un produit psychoactif seul ne peut pas déclencher une maladie", tempère le Dr David Masson, psychiatre au sein du Centre Psychothérapique de Nancy (Meurthe-et-Moselle). Il peut toutefois le favoriser, à condition qu'il y ait déjà une "présence de vulnérabilité" chez la personne concernée.

La plupart des usagers de cannabis ne développeront pas de schizophrénie, indique la plateforme Drogues Info Service. "En revanche, chez les personnes fragiles au niveau psychique, souffrant de troubles de l’humeur ou de troubles anxieux, la consommation de cannabis serait un des facteurs qui favorisent la survenue d’une schizophrénie."

Quels sont les facteurs favorisant la schizophrénie ?

Il est également possible de développer une schizophrénie sans avoir consommé de la drogue. Le Dr David Masson précise qu'il existe néanmoins des facteurs de stress, favorisant la survenue de la schizophrénie. "Le cannabis, notamment le THC, la substance responsable des effets psychoactifs du cannabis, est bien connu pour en être un", poursuit-il. Le risque de développer une schizophrénie "augmenterait avec les quantités consommées", abonde Drogues Info Service. "Il serait ainsi multiplié par quatre pour un consommateur régulier. L’usage avant l’âge de 15 ans, alors que le cerveau est encore en cours de développement, serait un facteur de risque supplémentaire."

David Masson cible plutôt les facteurs environnementaux pour expliquer le développement de la schizophrénie. "Les abus dans l'enfance, les cas de maltraitances ou de harcèlement sont des facteurs de risque de déclencher ce type de maladie sur un terrain de vulnérabilité", développe le psychiatre. Des troubles psychiatriques préexistants peuvent également favoriser le développement de la schizophrénie en cas de consommation de cannabis.

Chez les personnes concernées, la drogue "souvent utilisée comme automédication pour calmer les angoisses, a cependant toujours des conséquences négatives sur l’évolution du trouble : accélération de l’apparition des symptômes, augmentation de l’intensité des crises et rechutes plus fréquentes", précise la plateforme Drogues Info Service.

Quels sont les liens entre alimentation et schizophrénie ?

"Il y a des pistes intéressantes sur la question de l'équilibre du microbiote, pas uniquement dans la schizophrénie, mais aussi dans les troubles de l'humeur, notamment la dépression", détaille le Dr David Masson. Le lien entre alimentation et schizophrénie est particulièrement prégnant lorsque la maladie est déjà présente.

Plutôt que d'associer directement l'alimentation avec le développement de troubles psychiatriques, le spécialiste préfère lier les traitements utilisés pour freiner la maladie avec des troubles de l'alimentation. "Les traitements peuvent par exemple augmenter l'appétence au sucré et limiter le niveau de satiété. Il y a souvent comme effets indésirables une prise de poids, notamment en début de traitement", précise-t-il. Pour éviter les mauvaises surprises alimentaires, "il est important de réaliser un travail de prévention lorsqu'on commence un traitement contre la schizophrénie", conclut David Masson.

Y a-t-il un lien entre consommation de drogue et schizophrénie ? - AlloDocteurs

07 mai 2024

Un psychiatre immortel

À seulement 47 ans, le Pr Raphaël Gaillard a été élu à l’Académie française, malgré une contribution encore assez succincte aux lettres françaises.

Il faut être un peu fou pour rechercher l’immortalité. C’est peur être pour cela que l’Académie Française a choisi un psychiatre pour venir renforcer ses rangs. Le 25 avril dernier, par 15 voix sur 30, les académiciens ont élu comme nouvel immortel le Pr Raphaël Gaillard, PU-PH et chef du pôle hospitalo-universitaire de psychiatrie de l’hôpital Saint Anne à Paris, âgé de 47 ans seulement.

Au fauteuil 16 auquel il a été élu, le Pr Gaillard succède à deux anciens chefs d’Etat, le président sénégalais Léopold Sédar Senghor et le Président de la République française Valéry Giscard d’Estaing mais aussi, figure moins glorieuse, à Charles Maurras (condamné à mort à la Libération). Il ne sera cependant pas le seul homme de science à siéger au sein de l’institution culturelle, puisque le Pr Jules Hoffman, Prix Nobel de médecine 2011 et le Dr Jean-Christophe Ruffin (écrivain par ailleurs), siègent déjà depuis plusieurs années à l’Académie.

Un psychiatre brillant… et tyrannique

Normalien, PU-PH à seulement 34 ans, bardé de diplômes obtenus en France mais également à la prestigieuse université britannique de Cambridge, le Pr Gaillard a eu un parcours universitaire brillant qui semblait le prédestiner plutôt à l’Académie de médecine ou à celle des sciences qu’à la Française.

Parmi les nombreuses écoles que compte la psychiatrie française, le Pr Gaillard a clairement choisi son camp, celle des neurosciences. Il a notamment travaillé sur la modélisation du fonctionnement cérébral via des outils informatiques et a participé, avec le psychologue français Stanislas Dehaene, à l’élaboration d’un modèle cognitif de la schizophrénie.

En tant que chef de pôle à Sainte-Anne et directeur du congrès et de la revue de l’Encéphale, le Pr Gaillard exerce une certaine emprise sur la psychiatrie parisienne et française. Une main mise que certains qualifieront de tyrannique. Il est ainsi de notoriété publique que le normalien dirige d’une main de fer le célèbre hôpital psychiatrique parisien et qu’il ne s’y est pas fait que des amis, comme le rapportait le journal Libération en 2020.

« C’est une ambiance de terreur », « il impose tout, il fait régner la peur », « l’ambiance est aujourd’hui insupportable à Sainte-Anne, tous ces médecins ont peur » témoignaient plusieurs psychiatres, qui pour la plupart avaient préféré rester anonymes. Le journal relatait notamment la guerre ouverte que le Pr Gaillard menait contre le Dr Jean-Luc Marcel, un des chefs de service de l’hôpital, conflit qui s’était cristallisé autour d’une patiente du Dr Marcel qui aurait menacé la femme du Pr Gaillard.

L’immortalité gagnée à coup de hache

Peut-être pour s’éloigner de ces conflits de bas étage, l’hyperactif Pr Gaillard s’est donc progressivement tourné vers la littérature, sans abandonner ses activités scientifiques. En 2022, il publie son premier ouvrage, « Un coup de hache dans la tête », réflexion sur les liens entre la folie et la créativité. « Une idée traverse les époques et les cultures : qu’il s’agisse de la mélancolie selon Aristote, de la tempête des passions selon les romantiques ou du manifeste surréaliste, tous célèbrent le lien entre folie et créativité, au point de considérer la folie comme l’ordinaire du génie. Pourtant l’idée ne résiste guère à l’expérience quotidienne du psychiatre, qui raconte ici ses patients et montre combien la maladie les entrave et les livre à la souffrance » pouvait-on lire en introduction de ce premier ouvrage qui allait recevoir, présage heureux, le Prix Jacques de Fouchier décerné par l’Académie française.

Son deuxième livre, « L’homme augmenté : futurs de nos cerveaux », réflexion sur l’intelligence artificielle et la réalité du mythe de l’homme augmenté, est paru il y a quatre mois seulement, en janvier dernier. Le Pr Gaillard y livre une analyse en demi-teinte de ces nouvelles technologies cognitives : s’il croit véritablement aux promesses des implants cérébraux comme ceux de Neuralink et à aux potentialités de l’intelligence artificielle, il ne pense pas que ces nouvelles technologies puissent véritablement se substituer à l’intelligence humaine. « Il nous faut lire, pour nous armer et réussir ainsi nos hybridations technologiques » plaidait-il dans une interview au journal l’Express au moment de la sortie de l’ouvrage.

Une œuvre à la fois moderne et teintée de conservatisme culturel donc, voilà de quoi définitivement convaincre les académiciens d’offrir l’immortalité au Pr Gaillard. C’est au premier tour de scrutin que le psychiatre a été élu le 25 avril dernier, bien aidé par le retrait inattendu deux semaines avant le vote de la navigatrice et écrivaine Isabelle Autissier, favorite des bookmakers.

« Au-delà de ma propre personne, c’est la question des rapports de la médecine à la littérature qui est ainsi interrogée » a réagit le nouvel académicien après son élection. « L’exercice de la psychiatrie impose de faire le lien entre sciences et littérature, les premières afin d’ancrer les soins dans la rigueur attendue de tout médecin et la seconde parce qu’elle constitue la meilleure éducation possible à l’écoute d’un patient ».


Quentin Haroche | 03 Mai 2024

JIM.fr - Journal International de Médecine

06 mai 2024

Santé mentale : un conseil national de la refondation sera lancé en juin

Le 26 avril, lors de la présentation du bilan de la feuille de route "santé mentale et psychiatrie", le ministre de la Santé et de la Prévention a annoncé l’ouverture d’un conseil national de la refondation (CNR) spécifique le 12 juin. Une perspective accueillie avec réserve par la Fédération des acteurs de la solidarité.

Une feuille de route, des Assises et maintenant un Conseil national de la refondation. Alors que le Premier ministre Gabriel Attal a promis de faire de la santé mentale des jeunes l’une des grandes causes du gouvernement, le ministre la Santé et de la Prévention, Frédéric Valletoux, annonce le lancement d’un Conseil national de la refondation (CNR) dédié à la santé mentale. Il s’ouvrira le 12 juin pour se clôturer en juillet. 

https://www.lemediasocial.fr/sante-mentale-un-conseil-national-de-la-refondation-sera-lance-en-juin_qiPTyC

05 mai 2024

Vous souffrez d'un handicap invisible, racontez-nous comment il impacte votre quotidien

Le handicap ne se voit pas toujours. Mais la gêne, les douleurs et les contraintes qu’il provoque, eux, sont toujours bien présents. En France, 12 millions de personnes souffrent d’un handicap, et 8 sur 10 d’un handicap dit invisible.

Celles et ceux qui en souffrent doivent non seulement apprendre à vivre avec mais également, faire prendre conscience aux autres que même rien ne se voit ou presque, tout ce qui fait un handicap est bien là. Une situation souvent compliquée à faire accepter et toujours difficile à vivre pour les patients.

Exit les cannes, béquilles, fauteuils roulants et autres matériels paramédicaux. Si la personne qui en souffre ne vous dit rien, impossible de détecter quoi que ce soit. Les handicaps invisibles sont pourtant nombreux et classés selon différents types. On distingue ainsi :

=> Les maladies chroniques et/ou invalidantes : le diabète, les maladies respiratoires, la maladie de Parkinson…

=> Les troubles cognitifs qui peuvent être confondus avec de la maladresse et/ou une déficience intellectuelle

=> Les handicaps psychiques tels que la dépression, la schizophrénie…

=> Les handicaps sensoriels dont la déficience visuelle, la surdité.

Autant de pathologies qui affectent lourdement le quotidien de millions de femmes et d’hommes, et qui peuvent aussi toucher leur vie professionnelle, voire l’empêcher. A cela s’ajoute la souffrance liée au poids du secret que certains préfèrent garder par peur du jugement des autres.

Si vous vous reconnaissez dans ces quelques lignes et avez envie de partager votre expérience avec nos lecteurs, écrivez-nous à redac-medisite@erold.fr

Vous souffrez d'un handicap invisible, racontez-nous comment il impacte votre quotidien (medisite.fr)

04 mai 2024

Troubles bipolaires : 3 questions sur le test sanguin qui permettrait de les détecter

Une simple prise de sang permettrait de diagnostiquer les troubles bipolaires, dans 80 % des cas. ELLE fait le point sur ce nouveau test, commercialisé depuis lundi 1er avril.

Différencier la dépression des troubles bipolaires. Telle est la promesse de ce nouveau test sanguin, baptisé MyEDIT-B, et lancé par les laboratoires Synlab et Alcediag. Pour cause, plus de 40 % des personnes diagnostiquées comme dépressives en France seraient en réalité atteintes de bipolarité, selon les chiffres de PositiveMinders, relayés par Franceinfo. Pour rappel, le trouble bipolaire est une maladie psychique chronique, qui se caractérise par des dérèglements de l’humeur, avec une alternance d’épisodes maniaques ou hypomaniaques (excitation, insomnies, sentiment de toute-puissance, multiplication de projets) et de dépression (grande tristesse, idées suicidaires).



03 mai 2024

[ À suivre] : Association Colina

Son objectif : œuvrer pour la santé mentale des jeunes adultes à travers une remise en mouvement par le corps, le lien social et la nature.

Des marches itinérantes pour les 18-35 ans – en rétablissement de troubles psy – et leurs proches sont organisées pour contribuer au mieux-être et à l’élaboration du projet de vie de chacun(e).

Retrouvez les dates et les parcours des 9 marches sur le site :

colina - retrouver son pouvoir d'agir (colina-asso.org)

02 mai 2024

[Strasbourg] : Quand va ouvrir le centre de crise psychiatrique ?

Le 26 février, on annonçait l’ouverture prochaine d’un centre de crise en psychiatrie au CHU de Strasbourg de huit lits, dont deux lits pour adolescents, qui "permettra d’accueillir des situations particulières sans emboliser le reste du service".


Problème :
Le financement pour lancer le fonctionnement de ces lits de crise est toujours bloqué en l’absence de point d’accord entre les HUS (Hôpitaux Universitaires de Strasbourg) et l’ARS…


01 mai 2024

[Profamille] : Etude sur l'efficacité de la formation

Dans le journal "Le Monde" du 2 mai, un article qui donne les conclusions d'une étude sur les résultats obtenus par la mise en place de la formation "Profamille".

Rappelons que c'est TP-TP qui porte cette formation dans le Bas-Rhin.