Comment mieux parler de santé mentale ? Mickaël Worms-Ehrminger, docteur en santé publique, évoque les enjeux d’une définition commune de la santé mentale, l’importance de la notion de « pathologique » et les biais de genre dans la considération et la prise en charge des troubles psychiques.
Enseignant, chercheur en sciences
comportementale et santé publique, spécialiste de la psychiatrie et de
la santé mentale, Mickaël Worms-Ehrminger est fondateur du podcast "Les maux bleus, dire les troubles de santé mentale" sur les troubles psychiques et auteur de "Vivre avec un trouble de santé mentale".
Écouter la version audio de l'entretien avec Mickaël Worms-Ehrminger (35mn) :
- Comment parler de santé mentale ?
- En quoi cette absence de définition commune est-elle problématique ?
- Parlons-nous tous de la même chose lorsque nous disons « la dépression », « la schizophrénie »… ?
- Comment, alors, mieux parler de santé mentale ?
- Comment savoir si ce que l’on ressent est « normal » ou pathologique ?
- Est-ce utile de nommer un trouble ?
- Quels sont les facteurs qui favorisent la consultation et la prise en charge ?
- La libération de la parole sur la santé mentale peut-elle favoriser une meilleure prise en charge ?
En conclusion :
Mais la trajectoire est positive. On avance dans la recherche, on avance sur les traitements, il y a des réorganisations à l'hôpital, des nouvelles thérapies qui émergent, qui sont acceptées, des formations… il y a beaucoup d’espoir.
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