Autrefois stigmatisées et fantasmées, les maladies psychiques sont devenues plus réalistes à l'écran. Un moyen de lutter contre la psychophobie ?
Dans Joker, le public est incité à se mettre en empathie avec le personnage d'Arthur Fleck. | Capture d'écran Youtube via FilmsActu
Ils et elles s'appellent Carrie, Hannah, Tony, Dexter, Arthur, John ou encore Pat. Nous les avons suivies le temps d'une séance de cinéma ou celui d'une ou plusieurs saisons. Héros ou anti-héros, ces personnages souffrent d'un trouble psychique plus ou moins déterminé : bipolarité, schizophrénie, dépression, psychopathie, syndrome de stress post-traumatique… Troubles parfois représentés avec une justesse implacable, parfois avec davantage de licence, propre à la fiction.
Ils et elles influencent nos représentations des troubles psychiques mais peuvent nous aider, aussi, et dans certaines conditions, à mieux les comprendre et à limiter nos réflexes psychophobes.
Ils et elles influencent nos représentations des troubles psychiques mais peuvent nous aider, aussi, et dans certaines conditions, à mieux les comprendre et à limiter nos réflexes psychophobes.
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