L’alcoolodépendance est par essence une maladie chronique hautement récidivante, une histoire de vie. La vraie question à poser à un patient qui rechute n’est pas "Pourquoi avez-vous échoué ?" mais plutôt "Comment avez-vous réussi à tenir si longtemps ?". Dans cette perspective, il faut l’informer très tôt que la présence des soignants à ses côtés n’est pas dépendante de sa capacité à maintenir son abstinence ou contrôler sa consommation. Un accompagnement global, médicamenteux, psychologique et social, est donc nécessaire dans la durée.
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10 juillet 2021
[Dossier] : Maladie alcoolique et rechute
Revue Santé Mentale N° 259 - Juin 2021
L’alcoolodépendance est par essence une maladie chronique hautement récidivante, une histoire de vie. La vraie question à poser à un patient qui rechute n’est pas "Pourquoi avez-vous échoué ?" mais plutôt "Comment avez-vous réussi à tenir si longtemps ?". Dans cette perspective, il faut l’informer très tôt que la présence des soignants à ses côtés n’est pas dépendante de sa capacité à maintenir son abstinence ou contrôler sa consommation. Un accompagnement global, médicamenteux, psychologique et social, est donc nécessaire dans la durée.
L’alcoolodépendance est par essence une maladie chronique hautement récidivante, une histoire de vie. La vraie question à poser à un patient qui rechute n’est pas "Pourquoi avez-vous échoué ?" mais plutôt "Comment avez-vous réussi à tenir si longtemps ?". Dans cette perspective, il faut l’informer très tôt que la présence des soignants à ses côtés n’est pas dépendante de sa capacité à maintenir son abstinence ou contrôler sa consommation. Un accompagnement global, médicamenteux, psychologique et social, est donc nécessaire dans la durée.
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