Lorsque la personne souffrante n’est pas ou plus à même de donner son avis, exigence pourtant requise au regard du respect de l’intégrité du corps humain, le corps médical peut se retrouver démuni. En 1998, le Comité consultatif national d’éthique s’était penché sur le sujet, jetant les bases de ce qui allait devenir en 2022 la personne de confiance.
Le texte de loi définit précisément le rôle et les missions de cet acteur. Soulignons que le législateur na jamais voulu créer une relation tripartite entre l’hôpital, le patient et la personne de confiance le patient, et lui seul, décide de la place qu’il souhaite lui accorder.
La personne de confiance revêt un rôle secondaire, consultatif, s’apparentant à un soutien pour le patient et à une aide pour le corps médical dans la prise de décision lorsque le patient est hors d’état d’exprimer sa volonté.
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