PSYCHOLOGIE - Informer un partenaire que l'on est atteint de schizophrénie ou de troubles bipolaires est une question de tempo... et de confiance.
Nouer une relation amoureuse, la broder et l'enrichir relève rarement du long fleuve tranquille. Cela peut s'avérer encore plus compliqué pour les personnes atteintes d'un trouble mental, à l'instar de 13 millions de Français, dont 3 millions souffrent de troubles psychiques sévères.
La première embûche est de choisir le moment adéquat pour en parler à son partenaire. "Cela ne sert à rien de l'évoquer avant que la relation ne s'installe dans la durée", affirme Anne-Victoire Rousselet, psychologue et psychothérapeute spécialisée en thérapie comportementale et cognitive, autrice de "Mieux vivre avec la schizophrénie" (Dunod). "Certains malades ont l'impression d'être malhonnêtes s'ils ne le révèlent pas immédiatement, mais ce n'est pas exact. Il faut qu'une relation de confiance se construise avant d'aborder cette vulnérabilité."
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Les Journées de la Schizophrénie sont de retour du 15 au 22 mars 2025
Cette année, 40 évènements gratuits et ouverts à tous pour := Déstigmatiser la schizophrénie et les troubles psy
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