L'ESSENTIEL
L'étude, menée sur une population de juifs ashkénazes, met en évidence un mutation génétique jusqu'ici jamais identifiée dans le développement de la maladie.
Cette variante concerne le gène PCDHA3 et bloque ce fonctionnement normal de protocadherine, une protéine impliquée dans la création de connexions intercellulaires dans le cerveau.
Leurs travaux pourraient ouvrir la voie à de nouveaux traitements.
Article original (en anglais) :
Résumé (en français) :
Schizophrénie : découverte d'une mutation génétique fortement impliquée (pourquoidocteur.fr)
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